JUSTIFICATION
Cette étude basée sur l’IRF a évalué les dépôts modélisés du médicament administré dans les voies respiratoires au moyen d’un AD doté d’une chambre d’inhalation et de deux systèmes d’IPS à des débits optimaux et sous-optimaux.
MÉTHODE
Des géométries tridimensionnelles des voies respiratoires et des lobes ont été extraites grâce à un tomodensitogramme réalisé chez un homme de 67 ans atteint de MPOC (de stade III selon la GOLD).
Dispositifs mis à l’essai
Les profils de distribution aérodynamique selon le diamètre des particules (DADP) et les doses administrées ont été obtenus à partir des données publiées.
Des débits d’inhalation de 30 L/min (optimal pour AD doté d’une chambre d’inhalation valvée, sous-optimal pour 2 IPS) et de 60 L/min (optimal pour 2 IPS, sous-optimal pour AD doté d’une chambre d’inhalation valvée) ont été évalués.
RÉSULTATS
Exprimés en pourcentage des doses indiquées sur l’étiquette (valeurs moyennes lorsque plusieurs médicaments sont utilisés en combinaison)
Dépôts modélisés dans les poumons (valeurs moyennes lorsque plusieurs médicaments sont utilisés en combinaison)
CONCLUSION
- Les profils de dépôt observés à l’IRF soulignent que le système d’aérosol-doseur doté d’une chambre d’inhalation valvée AeroChamber Plus* Flow Vu* a permis d’obtenir un pourcentage nettement plus élevé de médicament dans la région pulmonaire que l’un ou l’autre des deux IPS, quel que soit le débit.
- Cela s’est traduit par un dépôt oropharyngé modélisé beaucoup plus élevé pour les deux IPS.
- L’influence du profil de débit d’inhalation était significative pour l’un des IPS.